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martes, 14 de julio de 2020

WUSHU. QU'EST-CE QUE LE WUSHU? (ÉCRIT EN FRANÇAIS)




Le terme "wushu" peut être traduit littéralement par "art de la guerre" ("wu" signifiant "militaire" et "shu" signifiant "art").
De par son ancienneté et sa pratique toujours très actuelle dans son pays d’origine, le wushu est une des principales composantes de la culture traditionnelle chinoise. 

El término "Wushu" puede traducirse literalmente como "el arte de la guerra" ("Wu" significa "militar" y "Shu" significa "arte").
Debido a su antigüedad y práctica, todavía actual en su país de origen, el Wushu es una de los principales artes que conforman la cultura tradicional China.

Les techniques se basent sur d’antiques enseignements taoïstes et bouddhistes, que l’on peut cependant diviser en deux grands courants, visant chacun des objectifs spécifiques : le "nei jia" est la méthode dite "du poing interne", qui comprend le travail de la force intérieure, la concentration et la méditation, l’étude des points vitaux et la médecine traditionnelle chinoise; le "wei jia", dit méthode "du poing externe", qui met davantage l’accent sur la force musculaire, les techniques de combat et la rapidité d’exécution des mouvements.

Le wushu moderne, standardisé dans les années 50 pour généraliser son enseignement et sa représentation en compétition, comprend deux principales disciplines : le "taolu" (enchaînements techniques) et le "sanda" (art du combat chinois). On trouve donc d’une part des exhibitions d’ordre artistique et d’autre part un sport classé "Sport de combat". En ce qui concerne le taolu, les formes présentées sont généralement des adaptations d’enchaînements traditionnels, mais converties en démonstrations sportives, mettant davantage l’accent sur le travail gymnique et la rapidité d’exécution des mouvements.Ces exhibitions sont jugées sur la base de règles spécifiques, de points accordés selon la précision des mouvements et leur enchaînement. Cependant, les formes traditionnelles issues notamment du temple Shaolin peuvent être présentées en compétition, notamment en Chine. Elles rapportent moins de points que les épreuves standard, et sont davantage réservées aux exhibitions hors compétition. Les règles du combat en sanda ont également été standardisées pour la compétition, en assauts, parades et projections, sur le modèle des règlements des boxes occidentales.
Historique :Dynastie Shang (1523 à 1027 av JC): le wushu est peu à peu structuré et enseigné de manière formelle. - Dynastie Zhou (1122 à 256 av JC): les applications martiales du wushu sont utilisées par le corps militaire.

-Dynasties Qin et Han (256 av JC à 220 ap JC): les besoins liés à la guerre entraînent des innovations dans les techniques de combat et les armes employées. Parallèlement, l'unification en cours du pays et l'attrait persistant pour le wushu chez le peuple chinois permettent l'apparition d'une pratique davantage apparentée à un "art de vivre", mettant l'accent sur la santé physique.

Ve siècle : le moine indien Boddhidarma transmet son enseignement aux moines de Shaolin, victimes de fréquentes attaques de brigands. Sur la base d’exercices pour fortifier le corps et l’esprit et de mouvements issus d’une antique boxe indienne, ils développent un art martial à part entière.

Dynastie Song (960 à 1260): la technologie militaire évoluant, la poudre à canon ayant fait son apparition, le wushu devient de moins en moins nécessaire pour les militaires. Il demeure néanmoins une pratique très répandue parmi les populations, qui créent différentes conceptions du wushu. C'est également durant cette période que naissent la plupart des styles internes.

Dynasties Ming et Qing (1368-1911) : de nombreuses écoles ("menpai") et styles de wushu font leur apparition.

1901: la dynastie Qing édite un décret excluant le wushu du corps militaire.

1911: le Docteur Sun Yat-Sen lance une révolte et renverse l'autoritaire dynastie Qing. Il prône le wushu comme méthode d'exercices pour le combat.
1921: après l’établissement du communisme chinois, le parti interdit la pratique du wushu, soucieux d’établir une "révolution marxiste" sur le modèle soviétique et d’annihiler toutes les pratiques traditionnelles spirituelles et religieuses, mais prône des exercices de santé physique "pour le peuple", inspirés du wushu. Mais celui-ci décline, perd de sa notoriété, jusqu'à être persécuté ; durant cette période, de grands maîtres sont exécutés, torturés ou humiliés en public. Beaucoup s’exilent pour continuer à enseigner.

1928: l'Institut de Recherche Kyushu ("kyushu" = "sport national") est fondé à Nanjing. Le gouvernement décide de la création d'instituts de wushu "moderne"dans toutes les provinces de Chine et de la mise en place de tournois locaux et nationaux : c'est l'apparition du wushu contemporain, dénué de toute connotation religieuse ou spirituelle.

1936: le wushu est pour la première fois présenté au reste du monde lors des Jeux Olympiques de Berlin, où l'équipe nationale chinoise de wushu réalise une démonstration.

1949: Mao Zedung déclare le wushu sport national; durant les années 50, le wushu est modernisé et standardisé pour l’enseignement et la compétition à l’échelle internationale.

1958: la première version des règles de compétition en wushu est éditée.
1982: la première Conférence Nationale de Wushu a lieu à Beijing (Pékin).
1985: le premier Tournoi International de Wushu est organisé à Xian. Officielle des Jeux Olympiques pour le wushu.

1987: les premiers Championnats Asiatiques de Wushu sont organisés à Yokohama, au Japon. La Fédération Asiatique de Wushu est fondée.

1990: le wushu devient discipline officielle dans les Jeux Asiatiques de Beijing. La Fédération Internationale de Wushu (IWUF) est créée. -1991: les premiers Championnats du Monde de Wushu ont lieu à Beijing. - XXIe siècle: l'IWUF réclame le titre de discipline.

CHANG QUAN : Le chang quan est une boxe traditionnelle du nord de la Chine. Elle a été construite et enseignée essentiellement dans lacommunauté musulmane des Hui. Elle se caractérise par ces nombreux coups de pieds sautés, l'allongement des postures et des mouvements. Cette boxe réclame de la part du pratiquant des qualités gymniques (souplesse et tonicité).

Il ne faut pas confondre ce style avec plusieurs enchaînements du Shaolin quan traditionnel qui portent ce nom, ni avec les versions modernes du Shaolin quan.
En 1956 la Commission nationale d'éducation physique (Guojia Ti Wei) réalise une synthèse de plusieurs boxes du nord de la Chine afin de créer une boxe plus sportive. Cette boxe fut appelée chang quan (« long poing » ou « boxe longue »). Ce chang quan moderne se voulait une synthèse officielle de plusieurs boxes musulmanes : cha quan, hua quan, pao quan et hong quan, toutes choisies pour leurs quualités gymniques (tonicité, étirement) et chorégraphiques. Cette boxe sert de base à l'ensemble des écoles de wushu gong fu dépendantes des institutions sportives régionnales ou nationale.

NAN QUAN :

Le Nan Quan (pinyin: Nánquán; soit littéralement "Poing du Sud"), désigne l'ensemble des styles de kung fu "traditionnel" du sud de laChine, notamment les styles Hung Gar, Wing Chun, Bai He Quan et Choy Lee Fut. Le Nan Quan est également utilisé pour désigner les formes (tao lu) modernes du Wushu, qui regroupent différents styles du Sud. Ces styles se caractérisent par des techniques de poing très variées par rapport à celles des jambes (il est cependant à noter que certain styles suddistes "traditionnels" sont prolixes en termes de coups de pied: le gouquan ou le mojiaquan par exemple). Les mouvements sont serrés et dégagent une énergie concentrée, les positions sont basses et la force "explosive" et destructrice.
Les techniques de mains sont extrêmement variées dans ce style...poing fermé, poing démon (un doigt sorti replié), paumes, griffes de tigre, paume a un doigt, poing des deux perles, main en bec, patte d’ours. On peut également noter une tendance générale à saisir les bras ou la tête de l’adversaire avant de frapper. Les taos des styles du sud en général et du nanquan en particulier peuvent également se lire du point de vue des mains collantes ou des qinna.
Le nanquan est un style ou les alternances contraction/décontraction sont très importantes, comme la respiration et les cris.




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DATOS DEL ARTÍCULO




sábado, 11 de julio de 2020

INVESTIGACIÓN. RESUMEN RECOPILACIÓN ESTUDIOS REALIZADOS DE LOS BENEFICIOS DEL TAIJIQUAN PARA LA SALUD

Título del artículo: Beneficios para la salud del tai chi: ¿Cuál es la evidencia?

Artículo  en  el médico de familia canadiense Medecin de famille canadien 62 (11): 881-890 y e645-e654 · Noviembre de 2016 con 284 
Aujtores: Patricia Huston y Bruce McFarlane

Resumen

OBJETIVO

Resumir la evidencia sobre los beneficios  de la práctica del Taijiquan (Taichichuan) para la salud.

FUENTES DE INFORMACIÓN:

Se realizó una revisión de toda la literatura existente en relación a los beneficios del Taijiquan, para 25 afecciones específicas, así como para la salud general y el estado físico, para actualizar una revisión de 2014 de las revisiones sistemáticas.

Las evaluaciones sistemáticas y los ensayos clínicos recientes se evaluaron y organizaron en 5 grupos diferentes:

1.- Evidencia del beneficio obtenido.
2.- Excelente
3.- Buena
4.- Regular o preliminar
5.- Evidencia de ningún beneficio directo.

MENSAJE PRINCIPAL:

Durante los últimos 45 años se han publicado más de 500 ensayos y 120 revisiones sistemáticas sobre los beneficios para la salud del Taijiquan (Taichichuan).
Las revisiones sistemáticas del Taijiquan para afecciones específicas indican una EXCELENTE EVIDENCIA que el Taijiquan es beneficioso para:

1.- Prevenir caídas
2.- La osteoartritis
3.- La enfermedad de Parkinson.
4.- La rehabilitación para la enfermedad pulmonar obstructiva crónica.
5.- Mejorar la capacidad cognitiva en adultos mayores.
6.- Hay buena evidencia de beneficio para la depresión
7.- La rehabilitación cardíaca y de accidente cerebrovascular.
8.- La demencia.
9.- Existe evidencia justa de beneficio para mejorar la calidad de vida de pacientes con cáncer, fibromialgia, hipertensión y osteoporosis.

ADEMÁS:


Las revisiones sistemáticas de los beneficios generales para la salud y el estado físico muestran una EXCELENTE EVIDENCIA, de beneficio para mejorar el equilibrio y la capacidad aeróbica en aquellas personas con un estado físico deficiente.
Así mismo hay una BUENA EVIDENCIA que la práctica continuada de Taijiquan provoca una mayor fuerza en las extremidades inferiores.
Existe una EVIDENCIA JUSTA de un mayor bienestar y una mejoría del sueño.

No hubo estudios que encontraran que el Taijiquan empeorará una condición.

EFECTOS ADVERSOS DEL TAIJIQUAN:

Una revisión sistemática reciente sobre la seguridad del tai chi encontró que los eventos adversos fueron típicamente menores y principalmente musculoesqueléticos; No se han informado eventos adversos graves relacionados con la intervención.

LA PRÁCTICA DEL TAIJIQUAN NO BENEFICIA DE MANERA DIRECTA:

Por otra parte señalar que la evidencia actual indica que no hay beneficio directo para:

1.- La diabetes
2.- La artritis reumatoide
3.- La insuficiencia cardíaca crónica.


CONCLUSIÓN:

Existe abundante EVIDENCIA sobre los efectos del Taijiquan en la salud y en el estado físico.
En base a esto, los médicos ahora pueden ofrecer recomendaciones a sus pacientes, basadas en EVIDENCIAS.
Señalar que el Taijiquan sigue siendo un área de investigación activa, y los pacientes deben continuar recibiendo seguimiento médico para cualquier condición clínica.




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DATOS DEL ARTÍCULO


DOCUMENTO ORIGINAL






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DATOS DEL ARTÍCULO
Autor/a: Justine Agaloos
Traducción: Pedro Domingo Almazor Iparraguirre

WUSHU. ¿Qué es Wushu?